Comment repenser notre rapport au temps pendant le confinement ?

C’est le titre d’un article du huffington post Le confinement, l'heure de "repenser notre rapport au temps"

Pour beaucoup, le temps est long pendant cette épidémie de coronavirus et souvent synonyme d'ennui. Il peut cependant nous permettre d'apprendre sur nous-mêmes. On ne compte plus les articles proposant des activités en tous genres depuis les listes de lecture ou de séries incontournables en passant par la mode de faire son propre pain, parfois sous forme de challenges insolites (#frogbread)

 

C’est aussi  le sujet de la chronique de France Culture Faire ou ne pas faire... telle est la question ! de Géraldine Mosna Savoie dans le journal e la philo. C’est donc bien une question qui traverse la paysage médiatique et qui nous interpelle également.

Le temps du confinement est un temps inédit. Le temps des horloges de Bergson a laissé place à un temps personnel où les espaces professionnels et la vie privée fusionnent, où les jours se suivent et se ressemblent.

Dans la même temps, ce temps offert semble parfois comme une contrainte à rester occupé, à prendre le temps de faire tout ce qu'on a pas le temps de faire habituellement. Mais le temps du travail est toujours présent avec de nouvelles contraintes :  travail a distance, adaptation au travail en ligne, nouvelle organisation ...

Et vous qu’en pensez-vous, en vous basant sur les articles cités, notre rapport au temps est-il uniquement lié au contexte extérieur ? Ou peut-on  intégrer le temps comme une donnée personnelle et donc envisager un rapport au temps subjectif  ?

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